Mes chers compatriotes,
Depuis quelque temps, une meute s’agite. Les rumeurs les plus folles sont lancées comme des projectiles, espérant entacher l’honneur d’un homme dont le seul crime est de servir la République avec abnégation. La vigilance doit être de mise. Voilà maintenant qu’on ose murmurer, sans la moindre preuve, que le Président du Conseil aurait fauté dans sa sphère privée. À ce rythme, on ne serait pas surpris que demain on l’accuse d’avoir épousé sa propre mère ! Quelle bassesse, quelle misère morale !
Soyons clairs : ce n’est pas la vie privée du Président Faure qui gêne, mais bien la grandeur de son œuvre. Ce qui dérange, ce n’est pas l’homme, mais le symbole vivant d’une République qui tient debout, dans un monde en crise. Ce qui irrite ses détracteurs, c’est sa force tranquille, son engagement continu, sa capacité à résister là où beaucoup auraient flanché.
Mais il est temps de dire non à cette tentative de lynchage. Non à l’indignité nationale. Non à la calomnie organisée comme mode d’action politique.
Ce qui importe à notre peuple, ce n’est pas l’agenda caché des envieux, ni les fantasmes des apprentis-destabilisateurs. Ce qui nous importe, à nous qui croyons en la République, c’est de savoir si le Président Faure est apte à gouverner, à décider, à guider le pays vers des rivages de paix, de croissance et de stabilité.
Et la réponse est claire : oui, il l’est. Et mieux encore, il le fait avec intelligence, courage et un sens aigu du devoir. La question est de savoir si nous sommes avec le Président Faure ou non. Et là, le choix doit être clair et individuel. Pour ma part, je suis avec lui, je l’ai choisi et je l’aime. Et toi, ma sœur, mon frère ? Pourquoi je le suis ?
Nul ne peut ignorer aujourd’hui que le Togo avance. Nos institutions se renforcent, nos infrastructures se multiplient, notre voix porte dans la sous-région. Le chaos n’a pas franchi nos portes grâce à la fermeté d’un homme d’État qui a compris que diriger, c’est parfois tenir seul contre tous.
Mes chers compatriotes,
Celui qui veut noyer son chien, l’accuse de rage. Mais nous ne laisserons pas noyer le soldat Faure, car ce serait ouvrir les vannes de l’anarchie. Les brèches du désordre. Ce serait livrer la République aux vautours.
Ce n’est pas seulement un homme qu’on cherche à abattre, c’est une vision, un cap, une stabilité chèrement acquise.
Alors, unissons-nous non pas derrière la personne, mais derrière l’idée qu’il incarne : celle d’un Togo debout, d’un Togo maître de son destin. Préservons la patrie, en sauvant la République. Et pour sauver la République, il faut aussi protéger ses serviteurs loyaux.
Vive le Togo, Vive la République, Et vive l’homme d’État Faure Essozimna Gnassingbé.
TAL Alassani