Mes chers compatriotes,
Le moment est venu de lever le voile. Trop longtemps, certains ont cru pouvoir tromper le peuple togolais, en se faisant passer pour des justes, des patriotes, voire la « conscience de la Nation ».
Mais à force de jouer avec le feu, ils se sont brûlés eux-mêmes. La vie de Ferdinand Ayité est une scène de théâtre. Maintenant que le rideau est tombé, on voit avec qui il se retrouve derrière le rideau. Depuis qu’un pan du voile s’est levé, et l’on a dénoncé les pratiques troubles de Ferdinand Ayité, nous observons une agitation inhabituelle. Les langues se délient. Les masques tombent. Et les complicités se dévoilent.
Ceux qui, hier encore, faisaient la leçon à tout le monde, s’avèrent aujourd’hui les maîtres d’une République parallèle, nourrie par le chantage, la manipulation, l’intimidation et l’argent sale.
Oui, un réseau a été patiemment construit. Il visait à faire chanter les honnêtes citoyens, à leur extorquer de l’argent contre le silence. Et quand l’un d’eux refusait de céder, on le salissait, on le traînait dans la boue, on tentait de briser sa vie, sa réputation, son honneur. Mais qu’ils le sachent : ce temps est révolu.
On ne s’en prend pas impunément à tout le monde, et surtout pas à ceux qui ont foi en la justice, en l’État et en la République. Et si aujourd’hui ils s’agitent fans les coulisses, harcèlent, menacent et insultent, c’est parce qu’ils ont peur d’être démasqués.
Car on a bel et bien frappé au cœur de la fourmilière.
Dans les jours à venir, les Togolais verront clair.
Des noms seront cités. Des visages familiers seront exposés. Des rôles dans l’ombre seront révélés.
Car l’ennemi n’est jamais loin. Il est parfois dans nos cercles, dans nos partis, dans nos rues.
Ils prétendent défendre la République, alors qu’ils la poignardent dans le dos.
Mais le Togo ne se laissera plus piéger. Nul n’est au-dessus de la loi. Nul n’est au-dessus de la République. Tous ceux qui ont pactisé avec le mensonge et la trahison devront rendre des comptes. C’est une question de justice. C’est une question d’honneur. C’est une exigence de vérité.
Mes chers compatriotes,
Ce combat n’est pas contre des personnes. Il est contre un système de duplicité, de haine et de déstabilisation.
Ce combat, c’est celui de la lumière contre l’ombre, de la République contre la République parallèle, du peuple contre les taupes.
Ils vont devoir rendre des comptes.
Ceux qui ont longtemps navigué en eaux troubles, semant la confusion et répandant des informations fausses à un certain « journaliste » autoproclamé conscience nationale, sont désormais identifiés. Ils devront désormais apporter les preuves de leurs graves accusations dirigées contre des institutions solides et respectées de la République : l’OTR, la CNSS, CEET, T-OIL, SAFER et tant d’autres encore. On ne calomnie pas impunément ceux qui servent la Nation dans la discrétion et la loyauté. On ne jette pas l’opprobre sur les institutions de la République sans conséquences.
Que cela soit bien clair : Menacer, insulter ou harceler de vrais citoyens ne les sauvera pas.
Car il y a un temps pour accuser à tort, mais il y a aussi un temps pour répondre de ses actes.
L’heure de rendre compte a sonné.
Le peuple togolais a été abusé, manipulé, désorienté par des campagnes de mensonge savamment orchestrées.
Mais aujourd’hui, la vérité se fraie son chemin.
Et les Togolais vont enfin découvrir le vrai visage de Ferdinand Ayité et de ses acolytes. Non plus celui qu’ils ont fabriqué sur les réseaux sociaux, mais celui que la justice et les faits finiront par mettre à nu.
Car comme le dit si bien un vieil adage : « On peut tromper le peuple une fois, on peut même le tromper plusieurs fois, mais on ne peut pas tromper le peuple tout le temps. » Alors qu’ils se tiennent prêts.
Le rideau tombe. Le spectacle de la manipulation est terminé.
Place désormais à la vérité, à la justice et au réveil républicain. Que chacun prenne position. Le moment est venu de choisir entre le Togo et les imposteurs, entre la vérité et la dissimulation, entre la patrie et la manipulation.
Nous ne céderons pas. Et nous n’oublierons pas.
Vive le Togo, une et indivisible.
Vive la République.
TAL Alassani